J’imagine un soir austral
un faux soleil qui n’en finit pas
noyant les porches et les murs d’une
orangeade tiédie
printemps 2007.
(de Valentin Villenave)
Accueil du [Site] > Articles > Écritures > Textes > Fragment[0]
vendredi 18 juillet 2008, par
J’imagine un soir austral
un faux soleil qui n’en finit pas
noyant les porches et les murs d’une
orangeade tiédie
printemps 2007.